Pourquoi avoir lancé une étude sur l’impact socio-économique dans le cadre de l’IRT Nanoelec ?
« Le modèle des IRT est suffisamment ambitieux pour que l’on travaille de manière approfondie son impact socio-économique. De façon générale, les politiques publiques sont évaluées pour montrer leur pertinence économique et il est normal que l’ambitieux programme IRT soit également évalué. Cette étude est menée au moment où les trois premières années du programme IRT se terminent, donc elle va dans le bon sens ». Elle est réalisée avec Grenoble – Ecole de Management, la Société Française d’évaluation et UPMF (Université Pierre Mendes France).
Que peut – on attendre comme résultats concrets ?
« Souvent, les résultats économiques sont étudiés sous l’angle de l’augmentation du chiffre d’affaire. Un des objectifs de cette étude est de démontrer que la mise en place de l’IRT Nanoelec apporte aux partenaires un avantage concurrentiel lié à leur capacité à coopérer. Accroitre cette capacité à coopérer à plusieurs, développer le capital humain, attirer des nouveaux talents et les retenir doit conduire, à terme, à développer effectifs et chiffres d’affaires ».
Peut-il y avoir un intérêt pour les autres IRT ?
« L’IRT Nanoelec est déjà associé à l’IRT Bioaster dans le cadre d’une thèse financée par la région Rhône-Alpes sur cette thématique. L’IRT Saint – Exupéry et l’IRT SystemX s’associent à cette étude. Cette étude étant fortement encouragée par le CGI, il est probable que les autres IRT suivront».